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Magyar Könyvszemle128. évf. 3. sz. (2012.)

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Tanulmányok

  • Zvara Edina :
    Ceglédi Szabó Pál dunántúli református püspök könyvei293-318 [682.80 kB - PDF]EPA-00021-00396-0010

    Les livres de Pál Ceglédi Szabó, évêque protestant de Transdanubie

    Pál Ceglédi Szabó, après ses études, poursuivies aux universités de Marburg et de Heidelberg, rentré en Hongrie, est devenu pasteur protestant à Pápa, plus tard évêque de Transdanubie. Pour le moment nous connaissons 58 volumes (232 ouvrages) parmi ses livres, dont la majeure partie a été remise à la bibliothèque de la famille catholique Esterházy. (Les volumes se trouvent actuellement à Kismarton et à Moscou.) Ceglédi Szabó avait fondé sa bibliothèque pendant ses années de pérégrination. Sa collection, quant aux nombres des volumes, ne peut être qualifiée de très grande, mais dans son contenu, représente une personne experte dans les discussions de confession de l’époque. Parmi les possesseurs antérieurs des livres on peut trouver les personnages connus de l’histoire de civilisation et ecclésiastique, comme István Beythe, János Kanizsai Pálfi, András Prágai et Albert Molnár Szenci. Les notes qu’il avait fait dans ses livres pendant leur lecture, donnent des contributions importants, jusqu’ici inconnues à sa culture de lecture et à sa biographie. Examinant ses livres , on peut retrouver des hungaricas jusqu’ici inconnus.

  • Ujvári Hedvig :

    Zusammenfassung

    Die Geschichte des Ungarischen Lloyd (1867–1876) ist mit der seines Konkurrenten, dem Pester Lloyd (1854–1945), engstens verbunden. Er wuchs aus dem Pester Lloyd heraus, und als er nach einem Jahrzent seines Bestehens die Segel streichen musste, wurden seine Abonnenten 1876 vom Pester Lloyd übernommen. Das neue Tageblatt, das sich selbst gerne als politsch-kommerzielles Organ bezeichnete, wollte auch auf dem Terrain der Feuilletons und der Fortsetzungsromane dem Pester Lloyd gewachsen sein. Beim letzteren Organ erfolgte diesbezüglich unter der Ägide von Max Falk ein qualitätsmäßiger Wandel. Bezüglich der Feuilletonautoren ist kein gravierender Unterschied zwischen den beiden Blättern festzustellen, die bedeutenden journalistischen Kräfe – u.a. Ludwig Hevesi, Sigmund Schlesinger, Adolf Silberstein, Albert Sturm, Ignaz Deutsch, Adolf Dux – waren in beiden Organen präsent. Der kulturelle Höhepunkt des Blattes lag zwischen 1872 und Oktober 1873, da in dieser Etappe jeden Sonntag die thematische Beilage Zeitung für Kunst, Theater und Literatur unter der Redaktion von Adolf Dux Adolf und Adolf Silberstein erschien. Das Eingehen des Ungarischen Lloyd erfolgte im März 1876. In einer kurzen Mitteilung wurde den Pränumeranten mitgeteilt, dass infolge einer Vereinbarung mit dem Pester Lloyd die Leserschaft das Tageblatt der Handelsgesellschaft erhalten wird. Damit hörte der Ungarische Lloyd auf, als Tageblatt zu fungieren, erschien aber jeden Montag als Wochenblatt.

  • Kereszty Orsolya :

    The founding and working methods of A Nő és a Társadalom (Woman and Society)

    The paper discusses the official journal of the Hungarian feminist movement, A Nő és a Társadalom (Woman and Society) that existed between 1907 and 1913. The Woman and Society was launched as the official journal of the Feminists’ Association (Feministák Egyesülete) and the National Organization of Female Clerks’ (Nőtisztviselők Országos Egyesülete). It was created in 1907 by the Feminists’ Association in a period when there existed a clearly visible feminist movement both at the national and the international level. Relying mainly on primary sources from the National Archives of Hungary and the New York Public Library a detailed and nuanced picture is constructed about working methods and problems of the associations, editor(s), activists and authors.

  • Szőnyi Éva :

    Contributions à l’accueil de József Szinnyei, père au Musée

    József Szinnyei, père (1830–1913) a reçu la mission de chef de la Bibliothèque Nationale de Journaux, section du Musée National de Hongrie, à partir juillet 1884. Au début, il l’a rempli à côté de sa poste de bibliothécaire de l’université, dès le novembre 1888, grâce à la transformation de la structure de la bibliothèque du musée, comme fonctionnaire du musée.Au Musée National il était accueilli dans une atmosphère glaciale: „...Au Musée, puisque je suis indépendant du personnel, je suis estimé en intrus... Pulszky m’avait ouvertement dit en face: lui, il est contre la Biboliothèque des Journaux, et il le rerstera toujours. Il ne reconnaîtra jamais la Bibliothèque des Journaux et il en sera toujours contre. „ écrit Szinnyei dans une lettre en 1886.

    L’étude publie quatre lettres à valeur de source de la Collection des Lettres du Département des Manuscrits de la Bibliothèque Nationale Széchényi. Le premier échange de lettres avec János Csontosi (1846–1918), gardien de musée montre bien l’accueil glacial de la part des officiers de musée. Dans la deuxième lettre Szinnyei, passant ses vacances, d’un ton tout à fait amical, donne des nouvelles des ses programmes à Csontosi. Pour mieux faire connaître la vie quotidienne des officiers de musée, nous citons une lettre de László Fejérpataky (1857–1923) plus tard directeur du musée national, adressée à Csontosi

  • Lengyel András :
    Egy bécsi magyar könyvkiadó: a Julis Fischer Verlag360-374 [465.44 kB - PDF]EPA-00021-00396-0050

    Un éditeur hongrois de Vienne: Julius Fischer Verlag

    Après la décomposition de la Monarchie Austro-Hongroise (1918) et les révolutions suivant (1918/19), la culture hongroise a connu de conditions radicalement différents. Un des signes de ce changement est le fait, que non seulement de grands blocs éthniques ont été détachés du pays, et sont devenus minorités d’un état successeur mais en même temps une émigration politique importante s’est formée. Une des scènes les plus importantes est devenu la capitale autrichienne, Vienne, où, dans un certain temps, la majorité des émigrants menaient leur vie, formant une vie culturelle féconde. (Cette émigration, un certain temps avait pourvu non seulement ses propres cercles, mais également les Hongrois des États successeurs en littérature hongroise. L’éditeur Julius Fischer Verlag était une des petites mais importantes firmes dans les années 1920. Le propriétaire en était Gyula Gömöri (1885–1937), qui, avait employé la variante allemandisé de son nom original (Gyula Fischer). Le grand mérite de l’éditeur c’est la publication de plusieurs ouvrages des auteurs de la littérature de l’avantgard hongroise (Lajos Kassák, László Moholy-Nagy, Tibor Déry, Mátyás György, Ervin Sinkó etc.) L’étude présente l’histoire du Julius Fischer Verlag, retraçant sa carrière et y ajoutant la liste des livres parus.

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